L'art de guérir avec les médecines complémentaires

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Intégration structurelle

Dans les années 1940 et 1950, le Dr Ida P. Rolf a commencé son travail de pionnier en créant un système de manipulation des tissus mous destiné à « organiser le corps en fonction de la gravité », appelé intégration structurelle. Tout le monde s’y référait sous le nom de Rolfing, qui est maintenant un nom de marque déposée. Le Dr Rolf a commencé à enseigner à Esalen dans les années 1960 et, en 1972, elle a créé le Rolf Institute of Structural Integration à Boulder, dans le Colorado, qui enseigne et continue à développer son travail. Le principe de base est que le vieillissement, les blessures, le stress émotionnel et les mauvaises postures contribuent tous à déséquilibrer le corps, ce qui se traduit par un manque d’énergie et de souplesse, des maux de tête et des douleurs corporelles. Le Rolfing cherche à rééquilibrer le corps et à le réaligner sur la gravité en restaurant l’élasticité du myofascia ou tissu conjonctif du corps. D’autres formes d’intégration structurelle sont essentiellement des reprises des travaux du Dr Rolf.

Eric Jacobson, un Rolfer de la région de Boston qui exerce dans le privé depuis plus de 25 ans, compare le myofascia à une feuille de plastique. Chaque articulation, muscle, os et organe du corps en est entouré. À certains endroits, elle est aussi fine qu’un bas de nylon ; à d’autres, elle est assez épaisse. Aux extrémités des muscles, il se rassemble et devient un tendon qui attache le muscle à l’os. Le fascia façonne le corps et lui donne de la force. Dans l’idéal, le fascia est élastique, mais une tension ou une blessure chronique peut réduire considérablement son élasticité. Avec le temps, il peut devenir aussi dur qu’un morceau d’aluminium. Cela limite les endroits où vos muscles et vos os peuvent se trouver, restreint l’amplitude des mouvements et inhibe la circulation et les sensations. Les signes de dégénérescence sont les suivants : épaules arrondies, douleurs dorsales, difficulté à se tenir debout pendant des périodes prolongées, avachissement devant l’ordinateur, sensation de manque d’énergie et de souplesse. Le Rolfing consiste en des schémas de pression destinés à restaurer l’élasticité du myofascia et à équilibrer les relations myofasciales dans le corps.

Le Rolfing est populaire auprès des athlètes, des danseurs et d’autres personnes qui souhaitent améliorer leurs performances ou guérir de stress ou de blessures. Certaines personnes choisissent le Rolfing comme un moyen de libérer les vieilles émotions retenues dans le corps afin de pouvoir avancer dans leur vie. Les bienfaits du Rolfing incluent un meilleur alignement du corps et une meilleure posture, une plus grande aisance respiratoire, une vitalité accrue, une liberté de mouvement et de grâce, une conscience du corps et de l’espace qu’il occupe, une réduction des tensions, une meilleure compréhension des sentiments et des émotions, un sommeil plus réparateur et une amélioration de la peau et du tonus musculaire.

De toutes les formes de travail corporel, le Rolfing est peut-être la moins comprise. Beaucoup s’en éloignent parce qu’ils pensent que c’est douloureux. Certes, il peut y avoir des moments intenses ou qui repoussent les limites du confort, mais les Rolfers habiles développent une excellente intuition à ce sujet et ajustent leur toucher pour répondre à vos besoins. Eric rapporte qu’il peut sentir quand un client se crispe à cause de l’inconfort et qu’il lui demande « Comment est la pression ? ». Il conseille aux clients de dire que s’ils ont mal, ils doivent le dire. Le Rolf Institute, qui a poursuivi et développé le travail d’Ida Rolf depuis sa mort, a mis au point un large éventail de techniques qui produisent des résultats avec un minimum d’inconfort. Des variantes ont été développées, permettant d’adapter les traitements aux besoins de chaque client. L’intégration du mouvement selon la méthode Rolfing aide les clients à prendre conscience des schémas ancrés dans leur corps et leur donne les moyens de les modifier.

Ce à quoi vous pouvez vous attendre : Le Rolfing consiste en une série de dix séances d’environ une heure et demie chacune, espacées d’une à trois semaines. Lors de la première séance, le praticien évalue la posture et les mouvements et pose des questions sur les douleurs ou les blessures. Cette évaluation se fait en sous-vêtements. Des photos « avant » peuvent être prises. Le praticien utilise les mains, les doigts, les articulations, le coude et même tout le bras pour détendre et allonger le fascia qui entoure les muscles et les articulations. Chaque séance a des objectifs spécifiques et s’appuie sur la précédente pour aligner progressivement le corps et obtenir des résultats durables. Le corps entier est traité à chaque fois (bien que les mouvements, les touchers et les étirements puissent varier) et le travail de la séance précédente est intégré et poursuivi et, si nécessaire, revu. Chaque séance donne l’impression d’être entière et complète. Certaines personnes ressentent une libération des émotions négatives, d’autres non. Étant donné que le Rolfing porte essentiellement sur le soutien – la manière dont le bas du corps soutient le haut du corps – les personnes quittent souvent les séances en se sentant mieux dans leur peau, plus confiantes et mieux soutenues. Et à l’issue de toutes les séances, il se peut même que vous soyez plus grand !

Le Rolfing est-il durable ? Selon Eric, oui. « Vous n’avez pas besoin de naître ou de grandir à nouveau. Le tissu conjonctif reste volontiers élastique, à moins qu’une blessure physique ou une tension chronique prolongée ne le resserre à nouveau. En général, lorsque les gens reviennent, c’est parce qu’ils veulent aller plus loin, être plus libres dans leur corps. » Pour ces personnes, il existe une série avancée, trois à cinq séances supplémentaires de travail « post-ten ». Est-il nécessaire de suivre les dix séances ? Pas toujours. Une seule séance peut être bénéfique et parfois un problème spécifique peut être corrigé après seulement deux ou trois séances. Tout dépend de l’individu.

Variante du Rolfing, le Hellerwork est une forme d’intégration structurelle fondée en 1979 par Joseph Heller, ancien Rolfer. Il combine le travail sur les tissus profonds avec l’éducation au mouvement pour enseigner l’utilisation correcte du corps dans les activités quotidiennes. Il inclut également un dialogue verbal pour aider le client à prendre conscience de la relation entre les émotions, les attitudes et le corps. (Aujourd’hui, le Rolfing intègre également l’éducation au mouvement). Le Hellerwork se compose de onze séances de 90 minutes.

Shiatsu et travail corporel oriental

Le shiatsu est une forme ancienne de travail corporel japonais qui remonte au dixième siècle, lorsque des moines japonais se sont rendus en Chine pour étudier le bouddhisme. Ils ont observé la pratique de la médecine traditionnelle chinoise (MTC) et l’ont ramenée avec eux au Japon, où elle a été intégrée aux soins traditionnels de type massage qui prédominaient à l’époque.

La MTC elle-même remonte à des milliers d’années. Elle est fondée sur la compréhension du qi (ki au Japon), la force vitale essentielle, et du rôle qu’elle joue dans la santé. Le qi est l’énergie créatrice de l’univers, inséparable de la vie elle-même. Contrairement à la médecine occidentale, la MTC se concentre sur la personne dans son ensemble plutôt que sur une maladie ou un symptôme particulier et constitue avant tout un système de soins de santé préventifs. Selon la MTC, les maladies et les douleurs sont toutes causées par un déséquilibre ou un blocage du qi. Lorsque le qi est fort et circule librement, nous nous sentons bien ; lorsque le qi est faible ou bloqué, ce n’est pas le cas.

Le qi s’écoule dans notre corps depuis la terre (énergie yin) et depuis les cieux (énergie yang). Il se déplace le long de voies énergétiques, ou méridiens, dans le corps, qui suivent grossièrement le trajet des nerfs, des vaisseaux sanguins et des vaisseaux lymphatiques. Il existe quatorze méridiens principaux, dont douze sont reliés aux organes du corps : cœur, intestin grêle, gros intestin, estomac, péricarde, triple réchauffeur, rate, poumons, reins, vessie, foie, vésicule biliaire. (En MTC, le triple réchauffeur est impliqué dans la circulation de l’énergie et des fluides corporels entre les organes de reproduction et d’élimination, les organes de digestion, le cœur et les poumons. Il n’existe pas d’équivalent occidental).

Chaque organe a une description de tâche qui a trait à notre santé physique et émotionnelle. Lorsqu’un praticien de la MTC parle d’un organe, il ne fait pas nécessairement référence à l’organe physique du corps, mais aux qualités et aux émotions qui lui sont associées. Par exemple, physiquement, le foie est un organe de détoxification et de purification. En MTC, il est également le processeur des émotions. Lorsque le qi du foie est bloqué ou congestionné, soit à cause de sentiments inexprimés, soit à cause de toxines physiques comme les produits chimiques, l’alcool ou la malbouffe, nous sommes susceptibles de nous sentir en colère, déprimés et irritables. Physiquement, nous pouvons avoir des maux de tête, des éruptions cutanées et souffrir d’allergies. Un autre exemple : En MTC, le cœur est la « maison de l’esprit » et le maître du corps. Un manque de joie, d’amour et de plaisir affaiblit le qi du cœur. Le cœur est également la voix du système immunitaire. Ainsi, lorsque vous écoutez la voix de votre cœur, vous entendez également la voix de votre système immunitaire. Un blocage ou un déséquilibre dans le méridien du cœur ne signifie pas nécessairement que vous avez un problème avec votre cœur physique, bien que si le blocage persiste, il pourrait éventuellement causer des problèmes car votre système immunitaire serait compromis. Les organes sont tous connectés et s’influencent mutuellement. Par exemple, lorsque nous avons des émotions non résolues (qi du foie), le qi du cœur est bloqué.

Le long des méridiens se trouvent plus de 300 points de pression où le qi est le plus actif et où les blocages peuvent être ressentis le plus clairement. Les acupuncteurs insèrent des aiguilles ou brûlent des herbes chinoises à ces points pour libérer le qi bloqué. Le shiatsu, qui signifie « pression des doigts » en japonais, utilise la pression des doigts et du pouce au lieu des aiguilles pour stimuler la circulation du qi le long des méridiens et rééquilibrer le corps. Kikuko Zutrau Miyazaki, enseignante et fondatrice de la Boston Shiatsu School à Cambridge, MA, explique : « Le shiatsu travaille à décongestionner les méridiens, à dissoudre l’accumulation énergétique et à laisser l’énergie circuler dans la zone de déficience où elle est nécessaire. Il est très similaire à l’acupuncture. La seule différence réside dans les outils que nous utilisons. » Les praticiens incorporent également des pressions, des mouvements de balayage, des secousses douces, des rotations, des soulèvements et des roulements pour libérer l’énergie bloquée et revitaliser le qi.

Le shiatsu est un traitement efficace pour une grande variété de difficultés allant des problèmes émotionnels aux affections physiques de toutes sortes en passant par les troubles liés au stress. Mais n’espérez pas être « guéri » d’une maladie sans maintenir un mode de vie sain. La guérison est un processus ; elle ne se produit pas simplement. Le shiatsu est un catalyseur dans ce processus.

Ce à quoi il faut s’attendre : Le shiatsu se pratique entièrement vêtu, mais évitez les objets encombrants. Kikuko explique que c’est parce que le shiatsu travaille sur le système énergétique et qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un contact direct avec la peau. « Pas d’histoires, pas de dégâts », dit-elle en riant. La séance dure un peu plus d’une heure. Certains praticiens travaillent sur un tapis épais posé sur le sol, d’autres préfèrent utiliser une table. Outre la description de vos problèmes de santé actuels, attendez-vous à devoir répondre à quelques questions sur votre santé générale et votre mode de vie. Un diagnostic est établi en observant votre posture, votre démarche, la couleur de votre peau et la qualité de votre voix. La qualité de votre énergie sera également diagnostiquée en palpant l’abdomen (le hara) et en ressentant l’énergie circulant dans les méridiens, en notant les blocages et les zones de plénitude ou de vide.

Respirer profondément tout au long de la séance aide à faire circuler le qi, apporte de l’oxygène dans le corps, dégage la tête et est relaxant. Les zones de tension – vous savez où elles se trouvent – contiennent un excès de qi qui est dispersé à l’aide de techniques telles que les étirements, les pressions, les soulèvements et les rotations. Les zones faibles sont renforcées par des techniques de stimulation et de maintien qui encouragent la circulation de l’énergie. Il est parfois nécessaire de tenir patiemment une zone pendant quelques minutes jusqu’à ce que l’énergie commence à remplir le vide. Le traitement ne doit pas être douloureux, même si certaines zones sont intenses. Des émotions peuvent apparaître. À mesure que le qi est dispersé, l’intensité disparaît et une libération est ressentie. La douleur émotionnelle sera-t-elle guérie ? Peut-être. « Travailler avec le corps est dix fois plus rapide que la thérapie par la parole », selon Kikuko.

Les praticiens du shiatsu sont souvent agréés ou certifiés en tant que massothérapeutes. Parmi les autres formes de travail corporel oriental, citons le jin shin jyutsu, qui consiste à tenir ou à toucher délicatement les points d’acupuncture pour libérer les blocages énergétiques, et le jin shin do, qui fait appel à des techniques de respiration et à la pression des doigts japonais (les points sont maintenus pendant une à trois minutes). Aucune de ces méthodes n’implique de massage et toutes deux se pratiquent entièrement vêtues.

Choisir un praticien

De nombreux praticiens ont été formés à diverses techniques, même s’ils ne sont pas nécessairement certifiés pour toutes. Un nombre croissant d’entre eux intègrent également d’autres modalités telles que le Reiki, le toucher thérapeutique, la réflexologie et l’aromathérapie dans leur travail. Lorsque vous décidez du type de travail corporel qui vous convient le mieux, réfléchissez bien à ce que vous espérez retirer des séances et faites confiance à votre intuition. Par exemple, il y a plusieurs années, je me surprenais à m’avachir chaque fois que je m’asseyais à une table. Je me suis donc forcé à m’asseoir plus droit. Lorsque je l’ai fait, j’ai remarqué que je me sentais mieux, plus alerte, plus confiant. Mais avant même de m’en rendre compte, je me suis remis à m’affaler et à perdre ma confiance en moi et mon état d’esprit positif. J’ai décidé d’essayer le Rolfing. Ce fut le bon choix. À un autre moment, pendant une période particulièrement stressante de ma vie, j’ai opté pour le massage et je me suis soignée toutes les trois semaines environ. Cela m’a sauvé la vie. Récemment, mes douleurs et mon manque d’énergie, sans parler d’un mauvais état d’esprit, ont disparu après une merveilleuse séance de shiatsu.

Si vous ne savez pas qui appeler pour un rendez-vous, pensez à demander des références à des amis ou à des membres de votre famille. Vous pouvez également consulter les annonces et les listes d’annuaires dans ce magazine. Une autre option consiste à contacter les programmes de formation ou les organisations professionnelles pour obtenir une liste de diplômés ou de praticiens certifiés dans votre région. Vous ne saurez pas si vous êtes compatibles avant de vous rencontrer en personne, mais vous pouvez poser des questions pour avoir une idée de la compatibilité.

Posez des questions sur les titres de compétences : Où a-t-elle étudié ? Est-elle certifiée ? Par qui ? Depuis combien de temps exerce-t-elle ? N’oubliez pas d’évoquer toutes les préoccupations que vous pouvez avoir concernant le traitement lui-même. Cela fera-t-il mal ? Comment le thérapeute gère-t-il les problèmes émotionnels qui peuvent survenir ? Et si vous avez des problèmes corporels, parlez-en ouvertement. Les réponses vous rassurent-elles ?

Je suis sûr qu’il existe des praticiens qui considèrent leur travail comme un simple emploi, mais je n’en ai rencontré aucun. Tous ceux que j’ai rencontrés aiment ce qu’ils font et éprouvent une grande satisfaction à aider les gens. C’est une vocation, une voie de service. Un phénomène intéressant est le nombre de praticiens qui ont choisi le travail corporel comme profession après avoir effectué des changements majeurs dans leur vie, peut-être en raison d’une expérience de guérison personnelle ou d’une insatisfaction générale dans leur vie.

Comme l’explique l’ancienne infirmière Arlene Dorischild, aujourd’hui massothérapeute et propriétaire d’Amethyst Point à Worcester, MA, « Quelque chose se passe et vous changez totalement de carrière. Dans mon cas, je suis devenue frustrée par ce que les médecins avaient à me proposer. À l’âge de 30 ans, on m’avait diagnostiqué une polyarthrite rhumatoïde aiguë. Ils voulaient me prescrire un médicament qui m’obligeait à faire régulièrement des analyses de sang. Je ne me voyais pas le prendre à long terme, alors je suis allée à la bibliothèque et j’ai étudié. J’ai commencé à comprendre ce que j’avais et j’ai vu que la maladie avait des composantes émotionnelles. J’ai donc suivi une thérapie, j’ai étudié les problèmes de colère et aujourd’hui, à 58 ans, je ne présente aucun signe de la maladie. J’ai réalisé qu’il y avait plus dans la maladie que ce qui est généralement compris. J’ai commencé à m’intéresser à l’holisme ».

Le travail corporel implique un échange d’énergie, mais pas seulement entre le client et le thérapeute. Kikuko explique : « Le guérisseur est un canal pour l’énergie céleste ou la lumière blanche qui possède des principes d’organisation qui aident à la guérison. L’énergie circule dans le guérisseur par le chakra couronne et le guérisseur comme le client bénéficient d’une source inépuisable de vitalité. »

Bien entendu, tous les travailleurs du corps ne s’expriment pas de cette façon. Les Rolfers, par exemple, s’intéressent principalement à la structure du corps et à sa relation avec la gravité. Mais comme l’explique Eric, « la gravité était la vision de l’énergie du Dr Rolf. Elle répétait sans cesse que son objectif était d’obtenir un corps dont la structure était tellement intégrée à la gravité qu’elle soutenait réellement la structure, mais avec l’âge, la gravité ralentit les gens. Certains Rolfers sont presque des mystiques de la gravité, parlant de la façon dont l’énergie de la gravité circule dans le corps. »

Le travail corporel a des effets physiques, mais aussi émotionnels et spirituels. La circulation du sang et du fluide lymphatique est accrue, les sous-produits toxiques des tensions chroniques sont libérés, l’amplitude des mouvements est améliorée et le stress est réduit. Lorsque les muscles tendus sont détendus et que l’énergie bloquée est libérée, les vieilles émotions peuvent remonter à la surface et être libérées en même temps que la tension. La recherche a démontré que les personnes souffrant de douleurs aiguës et chroniques, d’arthrite, d’épilepsie, d’anxiété et de stress, de dépression, d’insomnie, de spasmes musculaires, de scoliose, d’infirmité motrice cérébrale et de troubles du travail comme le canal carpien, bénéficient toutes d’une forme de travail corporel. Les études confirment ce que les praticiens et leurs clients savaient déjà, à savoir que le travail corporel joue un rôle important dans les soins de santé préventifs ainsi que dans le traitement des blessures et des maladies. Une seule séance fait du bien, mais parfois, même une ou plusieurs séances peuvent entraîner une « guérison » complète. À tout le moins, vous vous sentirez plus à l’aise dans votre peau, vous aurez moins de douleurs et votre énergie sera plus équilibrée et soutenue. Cela ne peut qu’avoir un effet positif sur votre confiance et votre vision de la vie.

Susan Meeker-Lowry contribue fréquemment à Spirit of Change. Elle souhaite remercier Kikuko Zutrau Miyazaki, Donna Boucher, Eric Jacobson et Arlene Dorischild pour avoir accepté de partager leurs connaissances et leur passion pour cet article.